Ruins Of Atlanta (BB2e) FR:Vivre dans les Ruines: Difference between revisions

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Paragon learned that he, and possibly many other posthumans, are actually artificial beings grown in tanks housed deep in the CDC. His memories, and the memories of other posthumans who believe they have had normal lives, were constructed by powerful AI and then implanted into the clones. The realization that everything he thought he knew about himself was a lie drove Paragon into a fury, and once he began to massacre people he denied any remorse by insisting, “I’m not a real person, so how can I feel guilty?”
Paragon learned that he, and possibly many other posthumans, are actually artificial beings grown in tanks housed deep in the CDC. His memories, and the memories of other posthumans who believe they have had normal lives, were constructed by powerful AI and then implanted into the clones. The realization that everything he thought he knew about himself was a lie drove Paragon into a fury, and once he began to massacre people he denied any remorse by insisting, “I’m not a real person, so how can I feel guilty?”
===Ex-Terminé===
Paragon had a vision of the future in which he saw a psychic alien life form arise out of the CDC and quickly absorb the minds of all it encountered. Atlanta’s million residents were consumed in minutes, and most of the rest of the world followed within days. Convinced that this future was inevitable and that 95% of humanity was certain to die, he went to drastic steps in an effort to destroy the creature and save what remained. Apparently, he was misled and that future wasn’t certain after all, because no trace of the psychic alien has (yet) been found.

Latest revision as of 19:05, 3 May 2018

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Dès la poussière retombée, Master of Destruction ou plus simplement MOD, super-vilain à la triste gloire, se précipita dans les ruines pour porter eau et nourriture aux réfugiés, et secourir blessés et prisonniers des décombres. Paragon était alors toujours une menace rodant dans les environs ; la nation et le monde avaient d'autres désastres à gérer, d'autres incendies à éteindre, et les ressources de chacun étaient au point de rupture. Des civils de Géorgie et des états voisins, financés par de riches célébrités et entrepreneurs, vinrent à Atlanta pour aider aux opérations de secours tandis que MOD faisait le plus dur du travail. Des centaines de milliers purent êtres évacués. La FEMA (Federal Emergency Management Agency) prit des jours pour organiser son intervention, et lorsqu'elle fut prête, MOD lui refusa l'entrée. "Tous ceux qui voulaient quitter Atlanta l'ont fait." Dit-il. "Ceux qui s'y trouvent encore ont choisi d'y rester, et je ne vois pas en quoi amener le gouvernement par-dessus leur facilitera la vie."

Ce fut l'origine du "Compromis d'Atlanta" : le blocus des ruines par MOD, en interdisant l’accès à toute agence fédérale ou d'état. Les particuliers par contre peuvent y accéder, et ces dernières années, beaucoup l'ont fait. Il n'y a toutefois nul processus coordonné de reconstruction ou de préservation du squelette de la cité. La vaste majorité d'Atlanta a été abandonnée, bien que quelques foyers de civilisation aient surgi – ou survécu – et que de petits groupes de survivant nomades parcourent ses routes comme les figurants de quelque film post-apocalyptique.

Les plus importantes et les mieux connues des factions des ruines sont l'Atlanta Regional Commission, la ville de Terminus, et la Pyramide. La Commission, ou ARC, avec à sa tête l'ancien Attorney General de Géorgie, qui survécut à l'attaque de Paragon, prétend être le gouvernement officiel de la cité. Elle contrôle le centre-ville et comprend nombre d'anciens policiers, pompiers et autres secouristes d'Atlanta ou de personnels précédemment affectés aux bâtiments gouvernementaux. L'Attorney General Montgomery a transformé sa police en armée (chose qui n'est pas vraiment difficile en ce 21e siècle) et étend progressivement son contrôle des ruines et son influence, mentionnant l'autorité de sa charge lorsque on évoque le côté cruel de ses méthodes. Ses critiques feront valoir qu'il cherche plus à s'arroger un petit royaume dans les ruines qu'à reconstruire la cité, et Montgomery ne pinaillera que sur le mot "petit".

La Pyramide, construite sur le site du Georgia Dome, est le quartier général d'une mystérieuse corporation qui s'est installée dans les ruines peu après la Chute de Paragon. Ses employés circulent exclusivement à l'intérieur de la structure et utilisent des drones pour recueillir dans les ruines ce qui peut être intéressant. La Pyramide est à elle seule une civilisation autonome, un monde high-tech répondant aux besoins d'un personnel très hiérarchisé et de sa CEO (Chief Executive Officer), Stephanie Hatsu. L'énigmatique ensemble a accès aux installations d'ingénierie et de construction les plus avancées des ruines, et a accumulé des ressources et conduit recherche et développement depuis des années, mais à quelles fins ? Nul ne paraît savoir.

Mais le Terminus est la vraie ville dans la ville. Il commença comme simple camp de réfugiés et s'est peu à peu étendu avec le nombre croissant de survivants qui choisissaient de demeurer dans les ruines et de s'y forger une nouvelle vie libre d'interférences gouvernementales. Bien qu'il y ait de nombreuses idées fausses à son sujet, le Terminus est bien connu dans tous les États-Unis où il est dépeint comme une sorte d'utopie libertaire où les armes sont un droit pour tous, les drogues douces bon marché, où il n'y a pas d’impôt, pas de réglementation officielle, et aucune loi. Ceci lui attire même des immigrants : des citoyens américains qui dénoncent l'état de la nation et sont en quête d'un idéal de société libre. La réalité est bien plus dure et au Terminus ; où les ressources sont rares et rien, sauf le besoin, n'est garanti ; la vie est brutale. Pourtant des milliers choisissent d'y vivre sous la direction nominale du Maire Martha Johnston, une ancienne institutrice et écrivain.

Dans les ruines, l'eau et l'électricité sont limitées et leur distribution n'est pas fiable. Les factions bien établies comme l'ARC ou le Terminus ont rétabli l'accès au réseau de la ville (alimenté par le Lac Lanier) et restauré partiellement leurs infrastructures d'alimentation. La Pyramide reste seule à disposer de réception cellulaire sécurisée et de réseau sans fil. Les autres rescapés survivent grâce aux provisions pillées dans des boutiques ou stations-service. Bien que l'eau, les batteries et le carburant ne puissent pas être remplacés, Atlanta abrite si peu d'âmes que de petits groupes réussissent à préserver leur existence simplement en restant mobiles. Une seule épicerie peut nourrir un groupe de réfugiés pour des mois… ou jusqu'à ce qu'un autre groupe plus important ou mieux armé ne les déloge.

Après tout, tout le monde ne peut pas tenir sa place dans le Terminus, et tous ne le veulent pas. Des groupes de réfugiés appelés clans de Rebuts, arrachent péniblement jour après jour leur vie nomade aux ruines. Des équipes de scientifiques ratissent les gravats, rassemblant les données à la recherche de secrets oubliés. Des fanatiques religieux proclament que Paragon est le Fléau de Dieu et Atlanta sa Cité élue. De jeunes gens ont rejeté la société viciée qui a causé de tels ravages et ont édifié de nouvelles règles à leur usage. Et, loin sous le CDC, un génie fou engendre toute une race de monstres...

Bienvenue dans les ruines.

Le Secret du CDC

When Paragon attacked the city of Atlanta, the Centers for Disease Control and Prevention were his first target. Although the state and federal government, as well as a few other organizations and individuals, have figured this out, it’s not entirely clear why the CDC earned this distinction. Moreover, because Paragon’s attack on Atlanta was the beginning of the nihilistic rampage that ended in his death, it’s possible that the CDC was somehow connected to Paragon’s fall in the first place.

Bulletproof Blues does not offer an official explanation for Paragon’s fall and his decision to target the CDC in Atlanta. Instead, we offer a half dozen potential reasons. As a GM, you can decide which, if any, of these is accurate, and you can use it to inform other aspects of the Kalos Comics setting. Investigating this secret might be a major plotline for players to pursue, or it might be irrelevant to current events, as you choose.

Angoisse Existentielle

Paragon learned that he, and possibly many other posthumans, are actually artificial beings grown in tanks housed deep in the CDC. His memories, and the memories of other posthumans who believe they have had normal lives, were constructed by powerful AI and then implanted into the clones. The realization that everything he thought he knew about himself was a lie drove Paragon into a fury, and once he began to massacre people he denied any remorse by insisting, “I’m not a real person, so how can I feel guilty?”

Ex-Terminé

Paragon had a vision of the future in which he saw a psychic alien life form arise out of the CDC and quickly absorb the minds of all it encountered. Atlanta’s million residents were consumed in minutes, and most of the rest of the world followed within days. Convinced that this future was inevitable and that 95% of humanity was certain to die, he went to drastic steps in an effort to destroy the creature and save what remained. Apparently, he was misled and that future wasn’t certain after all, because no trace of the psychic alien has (yet) been found.